Hommage du réalisateur à son père, atteint d’une sclérose en plaques à 29 ans et décédé à l’âge de 55 ans des suites d’une pneumonie. Le film est une recherche sur le corps contraint, au son d’un émouvant témoignage du père : « Quand on est privé du mouvement comme je le suis, si on veut survivre, il faut réinventer le mouvement autrement. »
I think that, when moving, you take over your own life. When you’re free to come and go, to have gestures of... love, tenderness, anger. So when you are deprived of the ability to move, as I am, you need to reinvent movement, recreate an inner space to find freedom.